Organisation des contenus
Le site principal
Y penser est le site chapeau qui peut être consulté pour lui-même ou comme introduction conduisant vers d’autres analyses, réflexions et synthèses sur différents sujets. Il s’agit du site personnel de Fabrice Marcoux qui est ADN pour la FTCAQ et qui coordonne des formations pour les TCA (Télévisions communautaires autonomes du Québec) afin de les aider à acquérir les compétences nécessaires pour être davantage autonomes dans leurs démarches d’adaptation de leurs méthodes de travail et l’adoption de bonnes pratiques en vue d’améliorer leurs chances de succès au point de vue de la transformation numérique exigée par le contexte actuel. Le fruit de ses travaux peut être partagé ici dans la mesure où il s’agit d’exprimer des découvertes ou des prises de conscience qui sont d’intérêt général, dans l’objectif de contribuer à la création de communs de la connaissance. Mais le plus souvent de résultat de ces travaux sera d’abord partagés par l’intermédiaire du blogue Avenumérique qui se trouve dans la section ‘Actualités’ du site de la FTCAQ.
Le mandat de Fabrice en tant qu’ADN prendra fin en mars 2022, et il prépare déjà la suite des choses en contribuant activement à la synthèse des connaissances accumulées par le Réseau des ADN qui a été mis sur pieds en vertu de la mesure 120 du PCNQ, pour répondre au besoin exprimé par les milieux culturels ciblés par celui-ci d’être accompagnés dans leur transformation numérique. Or, comme c’était l’intention au départ, le souci de développer une véritable culture du transfert des connaissances fut réaffirmé suite à une redéfinition des mandats des coordonnatrices de cette communauté de pratique, ceci en partie dans l’objectif de permettre une plus grande autonomie des milieux culturels par rapport à cet accompagnement et afin d’assurer un reddition de compte plus transparente à l’égard du public québécois qui finance cette démarche innovante. Le mandat des ADN est structuré autour de 4 axes : concertation, formation, veille et projets structurants. Des chantiers ont été créés qui ont permis de donner lieu à des réalisations dignes de mention comme la matrice pour évaluer le degré de maturité numérique des organismes artistiques et culturels. Une boite à outils est aussi en cours d’élaboration et le créateur du site Y penser, ADN de la FTCAQ (Fédération des télévisions communautaires autonomes) y a contribué en plus d’être le co-créateur de celle destinée plus spécifiquement aux médias communautaires avec les ADN des autres médias communautaires (radios et médias écrits). Le défi de trouver des outils nécessaires aux trois types de médias n’est pas si énorme si on parle de formations pour mettre à jour les compétences de base en édition de contenus de qualité ou de référencement sur le web. Mais mettre en oeuvre des stratégies de découvrabilité ne se fait pas de la même façon pour les membres des trois associations, ni parmi les membres de chacune d’elle, car il faut prendre les acteurs de ce secteur culturel là où ils sont rendus pour que ces formations les interpellent. Et lorsqu’on veut pousser davantage dans une direction ou dans une autre, les besoins deviennent encore plus pointus tout dépendant des technologies déjà maîtrisées et des projets d’innovation ou de transformation qui ont été mis de l’avant par les membres déjà plus avancés dans leur appropriation des NTICs. D’ailleurs, une boite à outils, comme certains ADN l’ont exprimé, ne peut pas être laissée à elle-même et doit être mise à jour régulièrement. Or les associations n’ont pas les ressources pour s’en charger et elles cherchent à favoriser des solutions qui pourront être viables sans investissements supplémentaires. Alors, des méthodes d’automatisation de la veille et de mise à jour des contenus au moyen d’intelligence artificielle pourraient-elles venir satisfaire ce besoin de systèmes qui s’auto-suffisent ? En tous cas, les dispositifs de publication des outils recommandés et des conseils pour bien les utiliser devront pouvoir évoluer en fonction des changements dans les usages. Et cela va requérir que les premiers intéressés, les directions des médias membres de ces associations, puissent apporter eux-mêmes des précisions, des corrections, des nuances et des références pour bénéficier des compléments d’information et les points de vue complémentaires que le temps appellera. C’est pourquoi Fabrice travaillera fort à convaincre les associations d’opter pour des solutions qui seront des logiciels libres pouvant être installés sur des serveurs partagés et permettant un travail collaboratif. Dans cette optique, il aurait aimé pouvoir offrir une démonstration du fonctionnement de tels environnements de travail collaboratif assisté par ordinateur (TCAO) dans cet espace de sites. Mais il lui aurait fallu pour cela investir dans un serveur privé virtuel (VPS) et prendre sur lui de configurer de tels outils spécifiquement pour les besoins des médias communautaires, sans être sûr que ceuxi-ci adopteraient des solutions qui exigent un degré élevé d’engagement pour acquérir des capacités qui ne sont pas requises dans le cadre des activités de production et de gestion courante de ces organisations, qui manquent déjà cruellement de personnel et de temps. C’est pourquoi il continuera de présenter des scénarios sur des usages possibles de ces dispositifs dans le site Culture numérique, comme il l’avait fait avec «La coédition grâce à Booktype au B7, esquisse d’un avenir possible» (titre de son intervention) lors du colloque ÉcriDiL 2018, à l’Usine C. Celui-ci a d’ailleurs fait l’objet d’une publication numérique innovante et ouverte, intitulée Version 0. Notes sur le livre numérique, au terme d’un «booksprint», dans l’esprit de ce que la commauté des FLOSS Manuals a entrepris depuis plus de 10 ans avec Booki (version d’origine de Booktype) et dont on peut toujours poursuivre l’oeuvre sur le site de la commnauté fracophone de FLOSS Manuals. Les publications de la communauté anglophone sont disponibles ici (mais ils ne peuvent être édités).
Quel type de CMS pou Culture numérique ?
Les sites de Fabrice Marcoux sur WordPress.com sont déjà nombreux. Il espère les rapatrier sur son espace d’hébergement au fil du temps. Nous y reviendrons dans les sous-titres suivant de cette page d’orientation à travers les contenus d’Ypenser en lien avec la démarche réflexive et éditoriale de celui qui se trouve un peu pompeux en parlant de lui-même à la troisième personne du singulier, mais qui souhaite conserver un ton plus informationnel pour éviter de mêler opinions et présentation de la structure d’un site qui servira de trait d’union avec d’autres, existants ou en cours d’élaboration. Nous continuons donc de parler du site principal alors que nous abordons un second chapitre, soit celui de l’aile du site qui sera davantage dédiée à la sensibilisation des publics intéressés à la culture numérique concernant les défis qu’un apprentissage des codes et des contraintes de cette culture représente. La question des moyens d’acquérir une meilleure littératie numérique – ce qui est la voie royale vers l’atteinte d’une maturité numérique satisfaisante (ce qui est l’objectif du PCNQ pour les milieux culturels au Québec) – sera au coeur d’une bonne partie des réflexions qui s’y exposeront. C’est pourquoi la zone de cette section du site web qui y sera consacrée pourrait prendre la forme d’un blogue WordPress pour y diffuser de manière agréable à consulter des vidéos, des podcast, des présentations et des textes évidemment, aussi accessibles et clairs que possible pour bien remplir leur rôle de communication de messages facilement assimilables. Mais je me suis dit que ce serait plus judicieux de rendre possible une évolution de cet espace pour que des lecteurs puissent y devenir des collaborateurs actifs. Alors j’ai décidé de faire appel au CMS appelé Tiki Wiki, qui permet la constitution collective d’une base de connaissances qui pourra évoluer avec le temps. Nous pourrons ainsi progressivement partager des retours d’expérience, des références et des tutoriels ou des témoignages, en plus d’échanger sur un forum et discuter autour des contenus publiés, en arrière-plan si nécessaire afin d’aller plus en profondeur. Le tout pourra éventuellement être reformulé de manière plus synthétique pour faire l’objet d’une republication d’articles dans Wikipédia. J’avais pensé utiliser Wiki.js qui est un autre moteur de Wiki qui présente l’intérêt d’être plus léger, n’exigeant pas de base de données séparées (à l’instar de DokuWiki, dont les documents servent aussi à consigner les informations concernant ceux-ci), et qui est plus léger. Mais il est fondé sur Node.js que je ne peux installer sur mon espace de serveur web HostPapa partagé étant donné que je n’ai pas accès au ssh. L’autre avantage de Wiki.js est qu’on pouvait y éditer les contenus directement en markdown et que l’arborescence se créait en définissant les chemins de noms conduisant au nom des pages elles-mêmes, sans avoir à créer des dossiers pour chaque nouvel embranchement. Tiki Wiki présente en principe une interface multilingue convenable et sa syntaxe est légèrement différente de celle de Wikimédia, mais la traduction s’opère pour une bonne part de manière automatique en cas de transfert. Et comme cette syntaxe est plus légère notamment pour les niveaux de titres (!!! … pour titre de niveau 3 plutôt que === … ===) je serai plus enclin à éditer les contenus en mode balisage, même s’il est toujours possible de basculer en mode WYSIWYG (avec Wiki.js il faut choisir une fois pour toutes au moment de la création d’une nouvelle page si on veut la rédiger en mode balisage, WISIWYG ou HTML). Comme je l’indiquais dans la section précédente de cette page d’introduction à ma démarche (vous avez noté que je suis passé au discours à la première personne depuis que j’ai mentionné mon malaise à parler de moi à la 3e ?), mes fonctions d’ADN m’amènent à faire le point sur les enjeux de la transformation numérique des milieux culturels en général et des médias communautaires en particulier. Et si j’ai été embauché par la FTCAQ pour jouer ce rôle c’est en partie en raison du sujet de mon mémoire de maîtrise, déposé en 2017 au département de littératures de langue française de l’Université de Montréal, et qui a pour titre : « De la constellation Marconi au métissage hypermédiatique, comme évaluer l’évolution découlant de la conversion numérique ? ». Ayant un baccalauréat en philosophie, j’ai amorcé des études de deuxième cycle sous la direction de Daniel Dumouchel concernant la possibilité de la formation de jugements de goût (appréciations esthétiques concernant la littérature, les arts et la culture) intersubjectifs, c’est-à-dire partagés par plusieurs personnes qui seraient capables de s’entendre non seulement sur le verdict concernant les qualités formelles et la valeur fondamentale d’une oeuvre mais encore en vertu de motifs qui seraient les mêmes et interprétés de la même façon. Il est clair que c’est une utopie qui semble aller à l’encontre de ce que nous dit Kant dans sa Critique de la Faculté de juger. Mais en même temps, cela me semble constituer une virtualité qu’il ne faut pas négliger car on peut se demander s’il serait possible que des sociétés subsistent sans parvenir à s’entendre sur certains consensus répandus et admis relativement à la valeur intrinsèque de certaies oeuvres. Paradoxalement pour confronter Kant sur ce terrain, je proposais de relire les textes de David Hume concernant la norme du goût, la tragédie, le raffinement et la simplicité dans l’art d’écrire, ainsi que l’enquête sur les principes de la morale (sans oublier la Dissertation sur les passions). Celui-ci affirme que sur ce sujet, deux sens communs s’affrontent. Un qui dit que tous les goûts se valent et l’autre qui dit que certaines oeuvres surpassent clairement les autres. Partant de ce constat d’un problème de cohérence entourant cette question qui est pourtant d’importance capitale (dans la mesure où l’on croit comme lui que nulle société ne pourrait subsister sans le développement d’une certaine culture commune, qui n’est pas réductible au sens commun bien que celui-ci en dépende justement), il aborde aussi nettement que possible la question de l’exitence ou non d’une norme du goût. Voyant que l’aporie demeure concernant la question de savoir où résideraient les preuves qu’un tel ou tel autre aurait raison advenant des jugements contraires d’experts, il propose de déplacer le problème vers la question de savoir où se situerait la véritable norme du goût et de la beauté (notez qu’il n’exclut pas le jugement concernant les beautés des paysages, qu’ils soient cultivés ou naturels, même s’il cite davantage d’exemples provenant des arts humains). Et c’est là qu’il propose de la situer dans le jugement partagé des personnes qui possèderaient des meilleurs disposition pour en juger. Ceci lui a valu d’être taxé d’élitisme et il est vrai que trop peu d’entre nous pourraient se vanter de satisfaire aux conditions proposées pour sélectionner les candidats appelés à faire partie de ce cercle restreint. Mais il faisait reposer une partie des compétences dans la capacité à avoir réalisé des choses importantes dans des secteurs autres que les arts. Car le succès dans les entreprises de diverses natures témoigneraient d’une bonne expérience des situations complexes que la vie réserve aux personnes qui se lancent sur des chemins inexplorés (comme les conflits interprétatifs que nous réservent les oeuvres d’art) et d’un jugement sain à la base pour avoir su surmonter les obstacles. Bref, le jugement pratique peut qualifier une personne. Enfin, ce mémoire, je ne l’ai jamais complété pour différentes raisons. Mais j’ai vécu différentes expériences et réalisé certaines choses (comme devenir père) tout en poursuivant des études notamment en sciences de l’information, avant de me lancer dans la maîtrise après y avoir été invité par Marcello Vitali-Rosati, ayant suivi comme étudiant libre le premier cours qu’il offrit à l’Univeristé de Montréal, «Pratiques de l’édition numérique». Or, un des penseurs importants qui était à l’étude pour creuser la question de la culture numérique était Milad Doueihi, auteur de La grande conversion numérique, et de Pour un humanisme numérique. J’ai alors envisagé pertinent, vue l’importance des changements qu’il percevait dans notre humanité, de tenter de comparer son évaluation de cette mutation de notre espèce avec celle que l’auteur de Pour comprendre les médias, Marshall McLuhan avait décelée en étudiant les effets psycho-sociaux des médias électronoiques de première génération sur notre comportement individuel et collectif. Mon but était de présenter un cadre théorique perspectiviste afin de mieux étudier la littérature numérique québécoise, en prenant pour corpus les oeuvres de la collection Décentrements, qui était au catalogue de Publie.net à l’époque. Mais j’ai finalement dû me contenter d’étayer ce premier chapitre de mise en contexte théorique. C’est pour poursuivre la réflexion sur des questions de cet ordre en recensant les observations pertinentes que je pourrai faire dans les arts et la littérature, de même qu’en étudiant les autres types de manifestations culturelles émergentes ou qui s’hybrident à la faveur des nouveaux contextes d’interaction, en présence synchrone ou asynchrone, en différé ou en direct avec médiation enrichie ou non, que je pourrai peut-être, en fin de compte peuple la «zone» «culture numérique» de cet «espace de sites». J’espère que le côté un peu sec du wiki ne rebutera pas trop d’utilisateurs du web intéressés à y creuser des questions en dialogant avec des experts et des amateurs. En fait j’atténuerai ce risque en faisant dialoguer le blogue Y penser avec ce wiki, qui devra conserver une rigueur suffisante pour servir de référence également pour mon autre site, plus professionnel encore, qui accueillera l’actuel FabrixLivres, et qui sera dédié à offrir mes services de consultant, formateur et réalisateur de livrels numériques. C’est pourquoi ce site visant à mettre en valeur des approches prometteuses pour l’édition collaborative d’ouvrages au format EPUB3 en particulier, mais aussi d’autres pratiques d’édition collective impliquant une pratique d’écrilecture, s’intitulera (ou aura pour nom de domaine) écrilire [ecrilire.com], contraction d’écrire et de lire (les deux gestes étant rendus inséparables du fait que même lorsque nous lisons des algorithmes calculent notre attention et nous modifions ainsi les règles du jeu du référencement). Pour ce qui est du wiki/forum dédié à la «culture numérique» , le nom de domaine sera cultnum [cultnum.com]. Pour ce qui est de mon mémoire de maîtrise, j’avais publié à l’avance une ébauche de mon projet sur littnum.wordpress.com. Un travail que j’avais fait sur la culture numérique lors du cour suivi avec Marcello Vitali Rosati en 2012 a donné lieu à Inter-edit, une tripe publication sous forme de site et de livrel au format ePub, ainsi que d’une publication PDF réalisée au moyen de LaTeX (disponibles sous licence Creative Commons). La version finale de mon mémoire est également publiée sous licence Creative Commons, CC-BY-SA, 4.0), sur Papyrus (le dépôt institutionnel des thèses et mémoire de l’Université de Montréal).
Alors que deviendra FabrixLivres, en tant qu’ÉcriLire ?
De quoi traitera plus précisément le site Ecrilire, qui accueillera – je le répète même si je n’aime pas trop cet ancient titre – le site actuel [FabrixLivres] où j’offre mes services comme réalisateur de livrels et consultant en édition et culture numérique ? Outre la mise à jour de mon porte-folio (qui devrait s’enrichir bientôt de la publication des livres de poèmes de mon père, Chronoosmatiques et Pliures), et l’alimentation du blogue pour témoigner des expériences acquises au cours de mes projets (aspect qui a été quelque peu négligé, même si j’avais bien commencé sur Ruptare), on y retrouvera des compte-rendus de formations sur l’édition numérique et l’écriture collaborative que j’ai données ou suiviees. Et je mettrai de l’avant des formations existantes ainsi qu’une offre de formations originales pour combler certains manques. De plus je développerai un coffre à outils dédié à l’annotation collective de contenus publiés en ligne et au TCAO (travail collaboratif assisté par ordinateur) dont les workflow d’édition numérique vers l’imprimé et le numérique sous ses différentes formes. J’espère que nous pourrons identifier des techniques, des approches et des méthodes pour l’élaboration collaborative de contenus destinés à être publiés sous licence libre en ligne. Car le but doit être que le plus de gens possible aient accès à la culture. Or les livres numériques collaboratifs sont complexes à produire, car ils demandent la concertation de nombreuses personnes qui ne sont pas habituées de travailler ensemble. Ce serait irréaliste de vouloir appliquer la blockchain pour faire un suivi à un fin niveau de granularité des contributions de chacun. Il vaut mieux que tous s’entendent sur une contribution bénévole à ces projets qui seraient financés à même les dons des lecteurs et parfois des contributeurs eux-mêmes. Le rayonnement de l’oeuvre ne serait pas une fin en soi, mais le témoignage des personnes qui l’auraient goûtée et appréciée serait notre salaire. Et le gouvernement ou d’autres instances reconnaîtraient éventuellement la pertinence de notre travail. Après tout c’est le cas pour Wikipédia, des dons financent le système qui permet la coordination d’une communauté de contributeurs. Mais Wikipédia ne mourra jamais si ce qui y est publié est enfin reconnu comme la référence.
Y penser demeurera le lieu de l’expression plus libre et plus personnelle (avec Ruptare)
Sauf qu’en culture numérique, il faut pouvoir présenter des points de vue éditoriaux. Alors Y penser sera là pour ça aussi en complément. C’esrt pourquoi un autre site que j’y importerai comme un sous-domaine est mon site personnel actuel, Ruptare. Par ailleurs, je pourrais héberger d’autres projets comme des initiatives communautaires ou familiales visant le dialogue interculturel ou intergénérationnel. Pour cela j’ai créé le nom de domaine famarcoux, et je pourrai y republier le site d’Artial : art et social, actuellement aussi sous wordpress.com [artial2.wordpress.com]. Pendant la vie de l’organisme à but non lucratif, fondé par ma femme et pour lequel j’étais webmestre, responsable des communications, organisateur d’évènements, et secrétaire au CA, de 2010 à 2014, il logeait à artial.qc.ca, et je réalisais moi-même les changements dans le code en XHTML, CSS2 et PHP.
Mais alors comment réaliser tout cela si je n’ai que droit à cinq sites ?
Ruptare sera un sous-domaine d’Y penser. (un site donc plus personnel).
Cultnum inclura les anciens sites Inter-edit (cultnum) et Littérature numériQue (littnumqc) de même que, peut-être e-mots (expérimentation pour le premier travail dans le cours Pratiques de l’édition numérique, dont le sous-titre était : «éditorialisation (et) édition numérique en ligne», ) après remaniement des contenus.
EcriLire présentera les formations et les retours d’expérience en lien avec mon travail de production de livres numériques, ainsi que les outils et les conseils pratiques pour l’édition collaborative ou plus créative, mais aussi des références à des expérimentations et recherches en cours.
Cultnum et ÉcriLire seront complétés par Y penser et celui-ci sera aussi l’hôte d’un volet public du site familial et ouvert aux expérimentations communautaires et culturelles, FaMarCoUX (pour lequel j’ai aussi réservé un nom de domaine). Faire Marcher la Communauté suivant les règles de l’art de l’UX (expérience utilisateur). On y retrouvera donc Artial version 3.0 (sémantique et collaboratif).