C’est le devenir de la conscience auquel s’intéresse sa poésie, celle de l’homme comme individu et celle de l’humanité comme horizon constamment à recréer. Mais il y a certains impensés qui demeurent comme des fils conducteurs à travers les devenirs de l’un et de l’autre qu’il valait la peine de tenter de déterrer. Et aucune arme n’était meilleure pour les faire sortir de leur tanière que la sulfureuse séduction du verbe créateur.
Pliures et Chronoosmatiques, recueils de poésie de Jean Marcoux
